plus que des restaurants,

un nouvel art de vivre.


le

collective

l'histoire d'un

trait d'union.

Un trait d'union, c'est tout petit.

C'est cette respiration qui relie deux mots qui n'ont, a priori, pas grand chose à voir ensemble. Bateau-mouche. Rouge-gorge. Eau-de-vie. Mez-cal. T'es-qui-là ?

Et pourtant trois fois rien, c'est déjà quelque chose.


Ce trait unit, il construit une passerelle entre deux univers, parfois antagonistes, parfois indifférents.

Daimant Collective, c'est un trait d'union entre hédonisme et engagement. C'est un nouvel art de vivre qui réconcilie plaisir et durabilité.

Un pont entre sexyness et éthique. 


Nous créons des lieux qui réconcilient dans la joie les pros et les antis, les sceptiques et les convaincus, les snobs et les autres, ceux qui s'en foutent, ceux qui aiment manger, ceux qui aiment boire, ceux qui aiment vivre, ceux qui n'y croient plus, ceux qui veulent encore y croire, ceux qui aiment danser sur les tables, ceux qui aiment les sauces qui tachent et les miches de campagne.


Daimant Collective, c'est une histoire d'inclusivité.

À l'endroit des femmes et des hommes quels que soient leurs croyances et leurs engagements, de tous les être vivants, et du monde qui nous entoure. 


Chez Daimant Collective, nous sommes tous différents, mais nous incarnons un changement commun. Pour un futur désirable et conjugué au pluriel.


Plus factuellement, Daimant Collective est né le 11 juin 2021 avec l'ouverture de notre première micro échoppe, Plan D, au Canal Saint-Martin à Paris. On ne vous remerciera jamais assez d'en faire un carton depuis le lancement.

Après des aléas de travaux dramatiques et non maîtrisables sur Faubourg Daimant, un chantier de près de deux ans, nous avons frôlé le dépôt de bilan, mais ouvrons avec tant de joie l'établissement à l'été 2023. 


Daimant Collective est en germes depuis presque dix ans dans le cœur et les tripes de sa créatrice, Alice Tuyet. Une grand-mère vietnamienne restauratrice, une adolescence artistique passée dans le ballet, un parcours de cuisinière autodidacte après une vie de jeune adulte qui cochait les cases depuis HEC jusqu'au grand groupe, un malaise grandissant face à la surconsommation de viandes issues d'élevages intensifs, un vertige d'impuissance face à la catastrophe écologique. Tous les ingrédients étaient réunis pour créer une aventure collective. Pour montrer que l'on pouvait faire de la restauration autrement. 


Plus que jamais, en restauration, impossible d'avancer en solitaire. Ainsi est né Daimant Collective. Daimant, car nous sommes aimants. Daimant, car nos lieux sont déments. Le projet est rejoint par Christian, Joris et Erwan les premiers chefs, Inès la première respo de salle, et bien d'autres talents...

Ensemble, dans nos équipes, et avec vous qui nous côtoyez et nous goûtez, on peut, et on va, changer le monde.

La cuisine de demain dès aujourd'hui, c'est une cuisine canaille, sexy et radicalement engagée.

faq.


Faubourg Daimant, Plan D, Dwich & Glace, Daimant, je n'ai pas bien compris votre marque ?

Pardonnez-nous, nous avons lamentablement échoué à nos rattrapages de marketing. Notre premier restaurant s'appelle effectivement Plan D, et se situe au 22 rue des Vinaigriers. En revanche, beaucoup croient qu'il s'appelle Dwich & Glace, car nous avons eu la lumineuse idée d'écrire Dwich & Glace en police 200 au-dessus de la porte du restaurant. Avec Plan D, nous souhaitons proposer une cuisine du quotidien, plus pop et plus fun. Avec Faubourg Daimant, une identité plus fancy et une cuisine élaborée, dans un lieu vibrant. Dans toutes les adresses : le travail des sauces pour fil rouge.

Enfin le groupe se nomme Daimant Collective. Daimant contient "aimant" pour l'amour qui anime tous nos projets, et "dément" car nos lieux sont incroyables. Enfin, c'est comme ça qu'on aime le voir. 


Guys, vous êtes vegan ? Genre vraiment vegan ?

Notre cuisine est vegan, mais non, on n'aime pas les étiquettes. Avez-vous déjà vu un restaurant omnivore afficher "restaurant omnivore" sur sa devanture ? Alors pourquoi le faire. Dans nos équipes, on mange et on consomme tous différemment - certains sont végétaliens, d'autres végétariens, omnivores ou flexis -, mais nous avons un point commun qui nous réunit : l'envie d'apporter notre pierre à l'édifice en proposant plus de sexy légumes. 


Est-ce que je peux m'attabler chez vous sans être fan de brocoli et de quinoa ?

Oui. Et c'est même préférable. De la même manière que vous avez dévoré une margherita hier soir et que non, vous ne mangerez pas pour autant italien trois fois par jour, du petit-déjeuner au dîner, ce n'est pas parce que vous êtes allé dans un restaurant de légumes, que vous allez devoir manger végétalien du matin au soir. 


Je crois que la viande va me manquer en allant chez vous. C'est grave docteur ?

Il faut saisir la science derrière. Notre goût se loge dans une partie du cerveau elle-même connectée à nos émotions et à notre mémoire. Nous avons donc, depuis des générations et depuis notre plus tendre enfance, créé des associations positives avec les produits carnés.

À notre génération de créer des associations positives avec les végétaux. Vous pouvez commencer en emmenant votre date préféré.e pour un dîner à la bougie au Faubourg Daimant.

Non la viande ne vous manquera pas, on va vous envoyer la sauce et vous en faire voir plein les mirettes pour s'en assurer. 


Peut-on vraiment résoudre les problèmes écologiques ? Est-ce que ça vaut le coup d'essayer ?

Un seul être humain, pas plus qu'une action, ne peut changer le monde. Mais un et un s'additionnent. Prenez l'exemple de l'eau et du feu. Jamais une seule goutte d'eau ne peut éteindre un brasier. En revanche, une goutte d'eau, plus une goutte d'eau, plus une goutte d'eau, cela crée la pluie. Et la pluie peut éteindre un feu.

Comme on aime le résumer ici : "chaque bonne action vaut pour elle-même". Ça vaut plus que le coup d'essayer, sinon autant aller se coucher et laisser la situation s'empirer inexorablement. Ensemble, on a le pouvoir de changer le monde. Collectivement, on peut se soutenir pour y arriver. Un repas après l'autre. 


Ça ne devrait pas être moins cher de manger des légumes ?

Non, car sublimer les légumes ça nécessite beaucoup, beaucoup de travail : éplucher, tailler, mariner, rôtir, farcir, frire, pocher, dégorger, paner, réduire, façonner... On ne cuit jamais un légume brut sans le travailler au préalable, contrairement à ce que l'on ferait pour une pièce de viande, un filet de poisson ou une tranche de fromage. Pour créer du goût, du goût, du goût, les techniques de cuisine à déployer sont multiples et profondément coûteuses en temps. Et on ne vous le dit pas souvent, mais ce que vous payez avant tout au restaurant, ce n'est pas le coût des matières premières, viandes ou végétaux, mais le coût du travail et de la masse salariale. Comme on aime la transparence, on vous montre cela ci-dessous. 


La prochaine fois que vous vous attablerez au restaurant, n'oubliez pas le travail essentiel et si exigeant de chacun, du chef de cuisine au plongeur, du directeur au commis de salle. 


Pourquoi ne plus manger ou réduire sa consommation d'animaux ?

En France, environ 80% des animaux sont maintenus en élevage intensif. Ces animaux sont dans des cages ou des bâtiments desquels ils ne peuvent sortir. Pas de lumière du jour, des sols aseptisés, un air irrespirable. Bref, on est loin des vertes prairies illustrées sur nos boites d'oeufs. Derrière ces questions, des vrais enjeux de justice et de questions sur la place de la souffrance dans nos sociétés, problématiques auxquelles chacun répondra en son for intérieur. 

Cette surconsommation de produits d'origine animale à bas coûts qui a encouragé la naissance et l'explosion de filières industrielles et productivistes, seules à même de faire face à une demande toujours en croissance, participe en outre très lourdement au désastre environnemental. En effet, selon les experts, la filière agro-alimentaire représente le deuxième ou le troisième plus gros contributeur au changement climatique. Il y a le gâchis bien sûr, environ un tiers de ce que l'on produit part à la poubelle, mais il y a avant tout nos modes de consommation. Les protéines carnées sont les plus demandeuses en ressources naturelles (eau, végétaux pour nourrir les animaux) et appauvrissent les sols comme nos océans, tout en émettant des quantités considérables de gaz à effet de serre.

La bonne nouvelle ? On peut, chacun et chacune, agir au quotidien, en végétalisant un peu ou beaucoup, mais toujours passionnément, notre alimentation.

Sources : ITAVI, FranceAgrimer, Interbev.



Est-ce que la vie est mieux sur terre ou sur Mars ?

Même si nous avons quantité de défis à relever pour qu'elle reste vivable, sur terre c'est plutôt cool. Il fait très froid sur Mars, -63° précisément, et, jusqu'à preuve du contraire, les brocolis n'y poussent pas et il est impossible d'y faire l'amour. 


Je veux collaborer avec vous.

On adore que la planète devienne plus great avec vous, alors danseurs de cucaracha, pygmalion des arts ou magnat du CAC 40 animés par la préservation du monde qui nous entoure, vous pouvez nous écrire à @daimant.co. 


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